Qui appeler lors d’une urgence médicale ?
Lorsqu’on est confronté à une urgence médicale la nuit, prendre les bonnes mesures et adopter les bonsréflexes peut s’avérer essentiel en termes de sauvetage d’une vie et /ou prévention de la gravité des symptômes. Le choc et la panique sont bien sûr des sentiments courants à cette situation; cependant, le contact rapide avec un professionnel peut faire une énorme différence. Il est donc important de savoir où et comment trouver de l’aide et ce à quoi s’attendre.
L’un des premiers réflèxes, quand vous êtes face à une urgence, vous pouvez également contacter un cabinet médical de garde le plus proche. Vous pouvez généralement les trouver sur les sites web de vos villes ou en ligne, ou directement appeler un cabinet médical pour obtenir une suggestion. Les médecins de garde sont hautement qualifiés et bien formés pour fournir des informations essentielles sur des situations d’urgence.
Une fois en contact direct avec le medecin de garde ou les services d’urgence, décrivez le plus précisément possible la situation et ce que vous ressentez pour qu’il puissent faire une évaluation plus à propos et prendre les bonnes mesures. Il est également préférable de s’abstenir de prendre des médicaments sans avis médical professionnel.
Il est également à noter qu’avoir accès à votre histoire médicale ou celui de la personne et à des informations complètes concernant son état de santé est important, souvenez vous nous en traitions dans notre article sur le cancer de la prostate. Cela vous donnera une chance supplémentaire dans le processus de soins médicaux d’urgence.
Outre le cabinet médical de garde et des soins d’urgence accessibles 24h/24h, 7j/7j. La chose à faire en cas d’urgence est d’appeler le Samu (15) ou le pompier (18) en ligne directement, que ce soit sur des lieux publics, au travail ou à la maison. Dans le cas où vous ne savez pas si votre situation nécessite des soins urgents, vous pouvez discuter avec un opérateur bien informé au centre de crise SAMU qui est situé en France.
