Rapport 2023 sur l’Économie du Plaisir par LELO

LELO, leader mondial des accessoires intimes de luxe, dévoile son premier Rapport 2023 sur l’Économie du Plaisir. Cette étude approfondie explore la relation entre le bien-être intime et la productivité professionnelle. Les conclusions, fondées sur les témoignages de plus de 7 000 personnes à travers la France, le Royaume-Uni, les États-Unis, l’Espagne, les Pays-Bas, l’Italie et la Suède, visent à fournir une meilleure compréhension de l’influence du bonheur personnel
sur l’environnement professionnel.
Le rapport s’articule autour de cinq chapitres essentiels :
•Une introduction par nos experts, Rosanna Spero (journaliste financière) et Kate Moyle (thérapeute psychosexuelle) ;
•Une exploration du lien tangible entre le bonheur et la productivité ;
•Une plongée dans la science qui se cache derrière l’orgasme et le sentiment de bonheur ;
•Un retour sur l’enquête de LELO auprès de 7 000 individus répartis dans sept pays pour comprendre leurs perceptions et expériences du sexe ;
•Et enfin, une réflexion sur la relation entre sexualité et la tendance mondiale vers une semaine de travail de quatre jours.

L’ORGASME SUR LE BIEN-ÊTRE INTIME INTERNATIONAL
1. Sensation de détente après un orgasme :
• Espagnols: 91%
• Italiens: 87%
• Américains: 84%
• Français: 83% (4e position)
• Suédois: 81%
• Britanniques: 75%
• Néerlandais: 74%

2. Ressenti des bienfaits jusqu’à 24 heures après :
• Américains, Espagnols, Néerlandais et Suédois: 20%
• Français: 19% (5e position, à égalité avec les Britanniques)
• Italiens: 16%

3. Ressenti des bienfaits jusqu’à deux jours après :
• Néerlandais et Italiens: 6%
• Américains: Presque 6%
• Suédois: 5%
• Français: Presque 5% (5e position)
• Espagnols: 4%
• Britanniques: 4%

4. Sentiment de détente après un orgasme avec un partenaire :
• Français: 7 sur 10 (1e position, à égalité avec les Italiens)
• Américains: Près de 6 sur 10
• Espagnols: Plus de la moitié
• Britanniques: Plus de la moitié
• Néerlandais: La moitié
• Suédois: La moitié

5. Sentiment de détente après un orgasme par masturbation :
• Suédois: Plus d’1 sur 5
• Américains: Presque 1 sur 6
• Néerlandais: 1 sur 6
• Britanniques: Presque 1 sur 7
• Italiens: Plus d’1 sur 8
• Français: Presque 1 sur 8 (6e position)
• Espagnols: 1 sur 8

6. Sentiment de détente de la même manière dans les deux cas :
• Espagnols: Près d’un tiers
• Néerlandais: 3 sur 10
• Britanniques: Plus d’un quart
• Suédois: Plus d’un quart
• Américains: Un peu moins d’un quart
• Italiens: Plus d’1 sur 6
• Français: Un peu moins d’1 sur 6 (dernière position)

Pour la France :
• 83% des Français se sentaient détendus après un orgasme.
• 19% continuaient à ressentir les bienfaits jusqu’à 24 heures après.
• Presque 5% jusqu’à deux jours après.
• 7 sur 10 se sentaient plus détendus après un orgasme avec leur partenaire.
• Presque 1 sur 8 par masturbation.
• Un peu moins d’1 sur 6 ressentait la détente de la même manière dans les deux cas.

Amandine Ranson, Marketing Manager France de LELO, déclare : « Selon cette première étude, 83% des Français se sentent détendus après un orgasme, soulignant l’importance profonde de la sexualité dans le bien-être général de l’individu. Ces chiffres montrent à quel point il est essentiel d’avoir une vie sexuelle épanouie pour une santé mentale optimale. »
En examinant les chiffres liés au bien-être post-orgasmique dans diverses cultures, un tableau contrasté se dessine. La France, malgré un impressionnant taux de 83% de détente après un orgasme, dans les derniers de cette diversité. Elle suit de près les Américains, les Néerlandais, les Suédois et les Italiens, devançant les Britanniques et les Espagnols. Cependant, en ce qui concerne la durée des bienfaits ressentis, les Français se distinguent en partageant la première place avec les Italiens. Malgré ces performances, la France se trouve en queue de peloton lorsqu’il s’agit de la détente post-orgasmique, que ce soit avec un partenaire ou en solitaire. Ces nuances culturelles révèlent la complexité de la relation entre la sexualité et le bien-être, démontrant que le plaisir intime est une expérience multifacette.