ÉTUDE BADOO – SPECIAL FÊTES DE FIN D’ANNEE : À Noël, un célibataire français sur deux ressent une pression de la part d’un de ses proches

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Badoo vient tout juste de sortir une étude (réalisée avec YouGov).

La marque révèle qu’un célibataire français sur 2 ressent une pression sociale lors des réunions de familles pendant les fêtes de fin d’année !

C’est apparemment leur âge qui est pointé du doigt (pour 31% des répondants) lorsqu’on leur parle de leur situation amoureuse… Voici ci-dessous en détails les résultats de cette étude.

● 50% des célibataires français déclarent ressentir une pression d’un de leurs proches durant les fêtes de fin d’année. Au départ “sociétale”, cette pression semblerait finalement bien être familiale dans ce contexte. Lors des retrouvailles de fin d’année, près d’un tiers des personnes interrogées redoute d’aborder ce sujet avec leurs parents.

● 79% des personnes interrogées associent cette pression à un sentiment négatif pouvant impacter leur santé mentale : 18% d’entre eux expliquent se sentir contrariés, 17% stressés, 16% se remettent en question. A parts égales, 14% se sentent angoissés et les autres attristés.

● L’âge (31%) serait l’argument le plus utilisé par les proches des célibataires pour leur faire ressentir cette pression lors des fêtes de fin d’année. Néanmoins, pour 22% des femmes célibataires interrogées, les raisons justifiant ces questions sont relatives à l’importance d’avoir des enfants.

● Face à ces questionnements, près d’un célibataire sur trois ressentant cette pression sociale et familiale affirme tout faire pour éviter le sujet, alors qu’ils sont 23% à en parler à contre-cœur. Plus étonnant, ils sont même 16 % à préférer mentir, avec une différence significative selon leur genre : 22% chez les hommes ont recours au mensonge contre 7% chez les femmes.

● En conséquence, plus de quatre célibataires français sur dix déclarent changer leurs habitudes de vie suite à ces interrogations de leurs proches, dans le prolongement des fêtes de fin d’année : il y parait que 10% d’entre eux décident de s’inscrire ou de retourner sur une application de rencontre.

« Alors, comment vont les amours ? » ou encore « Et toi, toujours personne dans ta vie ? »… Ces questions d’apparence anodine qui viennent rappeler que les célibataires n’entrent pas dans les cases et dans le sacro-saint modèle du couple. En effet, ces dernières sont souvent mal vécues par la moitié des célibataires français et peuvent avoir un impact sur leur santé mentale selon la dernière étude réalisée par YouGov pour l’application de rencontre Badoo. La marque s’est intéressée à cette pression sociale et familiale, souvent intrusive, qui peut s’exercer sur les célibataires, surtout durant les fêtes de fin d’années.

Des retrouvailles festives mais placées sous le signe d’une pression familiale pour la moitié des célibataires français

L’application de rencontre Badoo s’est penchée sur ce phénomène sociétal et révèle, à travers sa nouvelle étude, qu’un célibataire français sur deux ressent une pression liée à sa situation amoureuse, abordée par un de ses proches.

Badoo révèle également que l’âge est la caractéristique la plus souvent utilisée (31%) lorsque les proches font ressentir cette pression aux célibataires durant les fêtes de fin d’année. Ensuite, la comparaison à d’autres personnes est mise en avant pour près d’un tiers des répondants (24%), reflétant l’idée qu’il subsiste une réelle préoccupation d’uniformité dans notre société. Alors que 22% des femmes expliquent qu’on leur remarque l’importance d’avoir des enfants contre seulement 12% pour les hommes. Ces derniers admettent à 11% (contre 8% pour les femmes) que c’est l’importance de se marier qui leur est soulignée.

Contrairement aux idées reçues, c’est essentiellement à la catégorie des 25-34 ans qu’on soulève des questions autour de leur célibat durant les fêtes de fin d’année (45%), suivie des 35-39 ans (39%) auxquels on aurait pu associer plus facilement des remarques quant à leur situation. Dans cette continuité, l’étude révèle que les proches des 40-45 ans se montrent moins curieux que pour les tranches d’âge inférieures avec “seulement” 31% de célibataires affirmant avoir des questions sur leur vie sentimentale à ces occasions festives.

Et c’est avec surprise que l’enquête dévoile que cette pression touche significativement les célibataires issus de catégories socioprofessionnelles favorisées (54%) en comparaison avec le reste de la population (46% pour les catégories moins favorisées et les personnes inactives). On constate que près d’un célibataire privilégié sur cinq explique ressentir une petite (22%) ou une pression modérée quant à son célibat dans le cadre des fêtes de fin d’année.

Des injonctions extérieures qui impactent les habitudes des célibataires mais également leur santé mentale

La marque dévoile que 42% des célibataires affirment qu’ils modifieraient leurs comportements suite aux questions des proches sur leur vie amoureuse (dont 30% de femmes contre 50% d’hommes, beaucoup plus motivés à prendre leur destin amoureux en main) : 13% d’entre eux ou elles expliquent qu’ils (ou elles) prendraient plus soin d’eux (ou d’elles) pour paraître plus attirant(e)s. Toutefois, s’ils sont 10% à décider de sortir plus souvent pour tenter de rencontrer quelqu’un, ils demeurent 10% à déclarer s’inscrire où retourner sur une application de rencontre.

Près de huit sur dix révèlent que cette pression impacte leur santé mentale : elles sont 18% à déclarer que cette dernière les contrarie, 17% à se sentir stressées, devant les 16% qui expliquent se remettre en question face à ces questions.

Ainsi, 30% d’entre eux affirment envisager de réduire leurs participations aux réunions avec leurs proches pour les prochaines fêtes de fin d’année. Et ce sont les hommes qui se montrent plus réfractaires, étant 38% à confirmer ne plus souhaiter réitérer l’expérience, contre seulement 17% de femmes.

Près de deux tiers des célibataires français n’ont pas envie d’aborder leur situation amoureuse lors des célébrations de fin d’année

Par ailleurs, Badoo observe que lors de ces échanges en famille, 60% des célibataires déclarent parler de leur situation amoureuse à contrecœur. En effet, aborder sa vie amoureuse rebute un tiers des répondants qui expliquent tout faire pour éviter le sujet. Certains ont même recours au mensonge : 16% des répondants affirment mentir plutôt que partager la réalité de leur situation amoureuse. Ainsi, 13% des hommes interrogés affirment préférer mentir car ils souhaitent faire plaisir à leur entourage. Une pratique beaucoup moins répandue chez les femmes avec seulement 3% qui s’expriment en ce sens. Enfin, 7% des célibataires concernés avouent opter pour le mensonge car ils n’assument pas leur situation amoureuse.

Durant les fêtes de Noël et du Nouvel an, s’il y a des personnes avec lesquelles les célibataires redoutent le plus d’aborder leur célibat, ce sont essentiellement les parents pour 32% des répondants, devant les grands-parents pour 22%. Seulement 3% des personnes interrogées citent leurs enfants lorsqu’ils évoquent les proches avec lesquels ils craignent d’aborder ce sujet.

L’enquête révèle également que dans ce contexte de fêtes 58% des personnes sondées, les proches sont souvent très maladroits lorsqu’il s’agit d’aborder leur situation. Ainsi, près d’un tiers (30%) des célibataires français sondés perçoivent les questions de leurs proches au sujet de leur vie amoureuse comme de l’humour déplacé, alors qu’ils sont 19% à estimer qu’il s’agit d’indélicatesse de leur part, devant les 8% jugeant qu’ils les questionnent avec méchanceté.

“Osez être vous” au-delà de toute pression sociale

Badoo comprend l’impact qu’ont les pressions sociétales sur les célibataires, notamment celles basées sur des modèles traditionnels.

La marque s’efforce continuellement à développer un espace où les célibataires peuvent facilement faire des rencontres authentiques et sans pression avec des personnes qui souhaitent la même chose.

“ Nous voulons également déculpabiliser tous les célibataires qui célibataires qui ne sont pas nécessairement à l’aise avec les modèles traditionnels ou ce que la société attend d’eux. Nos dernières campagnes “Osez être Vous” sont développées pour aider notre communauté à se sentir libre de tout jugement et de toute stigmatisation” explique Stéphanie Gabriel, directrice de Badoo France.

Badoo lance une campagne sur les réseaux sociaux, intitulée “Décembre Sans Pression” pour donner des conseils aux célibataires et les aider à appréhender cette période de l’année avec sérénité.

Côté fonctionnalités, “Intentions” arrive en fin d’année pour permettre aux célibataires d’exprimer dès le début leurs désirs d’échanger avec d’autres personnes ayant les mêmes intérêts qu’eux, qu’il s’agisse de relations éphémères, sérieuses ou même platoniques. Ou encore “Moods”, disponible en fin d’année, donnera aux utilisateurs l’occasion de partager leurs humeurs et envies du moment.

Stéphanie Gabriel commente : « A l’heure où nous approchons à grands pas des fêtes de fin d’année, souvent synonymes de retrouvailles et et joie pour de nombreux Français, nous pensions essentiel de nous préoccuper des célibataires, qui peuvent appréhender cette période en raison d’une pression familiale forte quant à leur quant à leur situation. Ce n’est pas un phénomène nouveau mais il n’a jamais vraiment été adressé. A travers cette étude, Badoo révèle l’impact que ces réalités sociétales peuvent avoir sur le moral des célibataires. Nous souhaitons apporter des conseils et des solutions aux célibataires pour les aider à se libérer de ce poids. En parallèle, nous mettons tout en oeuvre pour simplifier le processus de dating afin de le rendre plus sympathique et agréable. Ainsi, Badoo espère à son niveau aider les personnes qui souhaitent vivre de belles histoires qu’elles soient amicales, amoureuses, ou juste donner un coup de pouce aux personnes qui ne souhaitent pas se sentir seules. »

*Méthodologie

L’enquête a été menée par l’institut de sondage YouGov, auprès de 1009 célibataires français, âgés de 18 à 45 ans représentatifs de cette population en France, du 26 octobre au 1er novembre 2021

 

 

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